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Quelle société voulons nous ? Informations
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Auteur et Webmaster du siteLouis DUVAL
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Actualités :



- Mise en ligne de ce site le 5 mars 2011

- Quelques informations extraites d'un article du journal Le Monde, N° 20717 du mercredi 31 août 2011, page 11 - 2 articles :
Extraits d'un article de Philippe LECOEUR :
. "La pauvreté gagne du terrain. Le nombre de personnes pauvres, -c'est à dire vivant avec moins de 954 euros par mois-, a augmenté, atteignant 8,17 millions. La proportion de français vivant sous le seuil de pauvreté (le taux de pauvreté) est en hausse, à 13,5 %".
. 'Depuis 2004, les inégalités de niveau de vie s'accroissent avec de très hauts revenus progressant plus vite que les autres"
. "Pour les 10 % de français les plus aisés, la progression est de 0,7 % entre 2008 et 2009, avec un niveau de vie s'inscrivant au dessus de 35840 euros annuels".
. "C'est pour le premier décile de la population, c'est à dire les 10 % des personnes les plus modestes que la baisse du niveau de vie a été la plus marquée : -1,1 % à 10410 euros annuels".
. " On est loin de la promesse faite par le gouvernement, en octobre 2007, de réduire la pauvreté d'un tiers en cinq ans".
Extraits d'un article d'Anne CHEMIN recueillant les propos de Louis MAURIN, Directeur de l'observatoire des inégalités :
." Si l'on considère le seuil de 60 % du niveau de vie médian, le nombre de pauvres a augmenté de 7,5 à 8,2 millions entre 2002 et 2009, et le taux est passé de 12,9 à 13,5 %".
. "A l'évidence, nous aurions dû consacrer une part de l'argent gaspillé en baisse d'impôts depuis douze ans à relever les minimas sociaux. Pas uniquement pour une question d'équité, puisque les sommes dépensées par l'Etat reviennent en grande partie dans l'économie de proximité, contrairement aux cadeaux fiscaux qui alimentent l'épargne des couches aisées"
. " Imaginez quelle serait la situation de notre pays si les 80 milliards d'euros gâchés chaque année en cadeaux fiscaux aux catégories aisées avaient été consacrés pour réduire de moitié les déficits et pour moitié à des programmes d'investissements concrets, de logement social, d'accès aux soins !"

- 15 septembre 2011 : Information se rapportant à la problématique des heures supplémentaires, info cueillie à la lecture d'un rapport  de l'INSEE  intitulé "Aspects de la Crise", page 194 :
Ce document indique que l'élasticité concernant l'impact des heures supplémentaires sur l'emploi intérimaire est voisin de 1. Cela signifie que l'orsqu'on augmente le nombre d'heures supplémentaires d'1%, l'emploi intérimaire diminue d'1%.
Analyse perso : Il est avéré que les emplois créés sont principalement des emplois précaires, dont les emplois intérimaires, aussi ce phénomène mettant en relation ces deux variables (heures supplémentaires et emploi intérimaire) ne constitue pas une réelle surprise.
Le slogan "Travailler plus pour gagner plus" accompagnait, en 2007, l'argument selon lequel tout raisonnement arithmétique de répartition du travail était erroné (constituant donc ainsi une "ringardise") et que cette "libération" des heures supplémentaires allait crééer une dynamique économique telle que ces heures sups permettraient la création d'emplois, justifiant ainsi leur exonération de charges patronales et salariales ainsi que leur exonération fiscale comme un moyen de lutte pour la croissance et, donc, pour l'emploi. Or les faits démontrent que ces exonérations étaient une mesure d'abord, non seulement inefficace mais contreproductive au regard du but recherché : 1) (cf l'INSEE) : Elles ont contribué à supprimer des emplois et non à en créer, 2) Elles ont aussi contribué à creuser le déficit public, d'une part, du fait du manque de ressources correspondantes résultant des exonérations et, d'autre part, du fait des indemnités chômage versées au nombre correspondant de travailleurs ainsi privés d'emploi. Les faits démontrent aussi que cette mesure est injuste en ce qu'elle contribue ainsi à priver d'emplois (et donc d'un revenu normal) une partie de la population active quand elle permet à une autre partie de cette même population d'accroître ses revenus.  Comment une mesure qui a pu être identifiée, -très rapidement-, comme étant à la fois  inefficace et injuste peut elle perdurer ? Sinon du fait que la croyance économique (l'idéologie économique) prévaut sur la science économique, laquelle s'appuie sur l'observation des faits et non sur la seule opinion, voire sur les seules convictions (N.B.  André Comte-Sponville, philosophe contemporain distingue 2 ennemis à la vérité : le mensonge et la conviction).

- 12 août 2013 : Mise en ligne d'un diaporama  sauvegarder notre modele social . Ce diaporama constitue, de fait, un complément à l'un des points traitant du rôle de l'Etat : 3.4.3 Rôle de développement et préservation  d'un modèle social, de l'antépénultième page de ce site